Aujourd’hui les Villes et les Métropoles se saisissent de leur pouvoir d’agir et prennent une part importante dans les politiques alimentaires. Elles inventent de nouvelles gouvernances, de nouvelles formes de solidarité avec l’espace rural et prennent part aux politiques nationales et internationales à travers des engagements comme le Pacte de Milan. A l’articulation entre les micros et les macros-enjeux et bénéficiant d’une réelle agilité, les collectivités constituent donc l’échelle territoriale la plus pertinente pour travailler sur les enjeux de transition et de démocratie alimentaire.
Étudier les paysages alimentaires de la Métropole en particulier dans les quartiers et les communes en situation de désert ou de bourbier alimentaire et proposer un plan d’action pour faire évoluer ces paysages.